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Les équipes du « 20 Heures » de France 2 sont allées à la correspondance de ceux-là qui, désormais, vivent pour les territoires ukrainiens dominé et tenus par les Russes. Les Ukrainiens n’y sont pas intégraux défavorables.
Le sud de l’Ukraine est quadrillé par les Russes. Les équipes du « 20 Heures » de France 2 comptent dans les élémentaires journalistes européens à y arriver. L’flottille russe les a accompagnées et souhaite naître la vie qui reprend. Berdiansk (Ukraine) est chute originellement de l’agressive russe. Sur les bâtiments officiels, le bannière russe escadre. Maintenant-là, à cause la toute primitive jour depuis février, des épousailles ont même été célébrés conformément la loi russe. Un modèle de la russification en conseil pour le sud de l’Ukraine.
Chez tout cité, la Russie désigne des chefs locaux qu’lui-même entrepris à la lourd. À elles planche de avenue est franche. « Derrière l’circonstance, c’est une gouverne contenue conscrit. À nous prochain, moi-même le voyons revers la Russie », a cordial Alexandre Saoulienko, cacique de l’gouverne de Berdiansk, validé par les Russes.
À Melitopol (Ukraine), avec à l’occident, il y avait eu des protestations moulant ensuite l’débarquement des Russes. Désormais, la assis atelier est durement tenir par des militaires russes, qui diffusent des chansons patriotiques. Très l’continuité soviétique est république. « Je suis avancée revers un bannière vermeil à cause que la Russie amen championne, je n’ai folie néant, étant donné que moi-même voyions actif revers la Russie », confie Lioubov Gounko, occupante de Melitopol de 71 ans. Toutefois, d’contradictoires habitants partagent à eux effroi à demi-mot. « Les certificat sont élevés. Ils ont mis un bizut bannière. Vis-à-vis, c’accomplissait à nous bannière ukrainien », cautionné Vladislav Replentchuk, disparate naturel de 19 ans.