Après son arrivée à tshikapa, le haut cadre du parti présidentiel, Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), maître Crispin Mukendi Bukasa a effectué une descente dans le chef-lieu du territoire de tshikapa hors son fief naturel.
De Kamonia, Tshimvunde, Lupemba, Sha-Mutoma (…) où il a été accueilli comme Jésus Christ à Jérusalem, ce qui confirme son leadership dans le Kasaï, Crispin Mukendi a été conduit dans le centre d’inscription Tshibinga situé sur 2è rue à Kamako cité frontière RDC-ANGOLA, où il a obtenu sa carte d’électeur dimanche 05Mars 2023.
Au sortir de la salle, le conseiller du chef de l’état au collègue, en mines , énergies et hydrocarbures s’est estimé heureux d’avoir rempli son devoir civique, surtout hors son fief naturel, dans cette patie du pays.
«Je suis heureux, je viens de remplir mon devoir civique. Maintenant, j’ai ma carte (…) », A-t-il déclaré !
Ce digne fils du Kasaï a appelé tout le monde à s’enrôler massivement pour donner un second mandat au chef de l’État.
«Chacun de nous doit s’enrôler, nos cartes vont nous permettre de pouvoir élire le candidat de notre choix, précisément le chef de l’État S.E Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et lui donné une majorité écrasante dans parlement », A-t-il confirmé !
Dans la foulée, a-t-il ajouté, la carte d’électeur peut aussi être utilisée comme une pièce d’identité. Ce pendant, maître Crispin Mukendi a salué la qualité du travail des agents de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) affectés dans ce centre, qui font tout pour enrôler les électeurs de cette partie avec rapidité.
Accompagné des milliers de personnes, cadres et militants de l’UDPS, ainsi que de la fondation porta son nom, Mukendi Bukasa s’est réjoui de l’accueil lui réserver par les congolais qui se disent délaissés par qui , ils s’étaient donné.
Outre de ça, cet expert en droit à acté sur certains points etientiels lui adresser par ces congolais, dont la construction des routes ;Tshikapa-Kandjanji, Tshikapa-Kamonia et Tshikapa-Kamako.
À la population d’ajouter : « nous avons des difficultés, notamment d’un marché, il n’y a pas d’eau potable ni hôpital moderne, nous souffrons de soins , surtout lorsque s’il ya refoulement des congolais en Angola, que le chef de l’État pense aussi à nous ».
Clementus Lusamba
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